Gerhard Ulrich
avait une carrière professionnelle active et la vie d’un citoyen exemplaire derrière lui, quand il a fait l’expérience en l’an 2000, à l’âge de 55 ans, d’être trahi par les juges de son propre pays. Il a accepté le défi et a fondé l’initiative des citoyens APPEL AU PEUPLE. L’objectif est l’assainissement de l’appareil judiciaire, qui a besoin impérativement d’un contrôle de l’extérieur.
L’auteur met à néant les prétentions de virginité de la corporation des magistrats et de leurs hommes de main et règle les comptes avec le banditisme judiciaire bien réel dans le prétendu Etat de droit suisse, qui est couvert tacitement par le magouillage helvétique de la politique et des media. Il désigne le système judiciaire actuel comme modèle soviétique désuet. Il exploite l’expérience d’un long combat désintéressé contre l’arbitraire judiciaire, en puisant dans une archive volumineuse et riche.
Les critiques dans la non-violence de la corporation des magistrats judiciaires l’ont fait faire embastiller pendant quatre années. Le lavage du cerveau n’a eu aucun effet et l’homme n’est nullement aigri. Par ces mémoires, l’auteur continue de soigner à l’âge mur, dans l’intérêt public, ce qu’il a semé. Le Tribunal fédéral suisse et la Cour Européenne des Droits de l’Homme pratiquent la falsification de l’Histoire : le premier retourne les moyens de preuve soumis aux recourants trompés et plumés, et Strasbourg détruit tout simplement ces dossiers. L’auteur exprime son vif désir que ce témoignage motivera les historiens d’analyser attentivement les pratiques du système judiciaire actuel.